Les sites décrits dans ce fichier datent essentiellement de la guerre de succession d’Autriche
Les coordonnées précédées de (P) ont été relevées par GPS et sont dans le système Lambert III.
Une cassine était une ferme fortifiée. Celle-ci se trouvait chemin de fort Thaon au croisement de la moyenne corniche et du chemin du mont Alban, ancien chemin de Villefranche
Marguerite et Roger Isnard (8) page 130 ont écrit un intéressant article à son sujet. Une plaque a été apposée en 1876 par un des descendants de Guillaume Thaon pour commémorer le fait d'armes qui a eu lieu à cet endroit dans la nuit du 19 au 20 avril 1744.
Le texte italien est le suivant :
"Dalle mure di questo castello valorosamente combattendo il 20 aprile 1744 Guglielmo Thaon con sedici veterani piemontese e pocche villici otenne da piu che seicenti granatieri spagnuoli libera e onorat uscita meravigliando il nemico di tanto eroismo.
Il cav. Luigi Thaon maggiore nell esercito italiano ad onore della patria della famiglia ad esempio dei posteri pose questa memoria il 20 aprile 1876".
La traduction est la suivante :" Des murs de ce château en combattant valeureusement le 20 avril 1744 Guglielme Thaon avec seize vétérans et peu de ...obtint de plus de six cents grenadiers espagnols libre et honorable sortie émerveillant l'ennemi de tant d’héroïsme. Le chevalier Luigi Thaon major dans l’armée italienne en l'honneur de la patrie de sa famille comme exemple pour la postérité apposa ce mémorial le 20 avril 1876.
Cette cassine a été refortifiée en 1792 sur les ordres du comte Pinto colonel de la légion des campements (austro-sardes) "il avait prescrit de construire un mur crénelé autour de la villa Thaon, poste avantageux sur la route de Nice à Villefranche".
Cette cassine modifiée existe toujours près du jardin du Castel des deux rois. Il s’agit de la fondation de Bellet, bureau d’aide sociale de la ville de Nice, au 10 avenue Banco.
L'historique de ce fort ne fait pas partie de cette étude. Signalons un texte de Luc Thévenon (12) pages 28 et suivantes, mais il ne parle pas des tribulations de l’ouvrage au XVIIIème siècle
Pendant les campagnes de 1744 à 1747 il a été occupé par les divers belligérants.
Il a été attaqué par les gallispans et pris le 25 avril 1744. Il a été occupé par les gallispans et pris par les austro-sardes le 30 octobre 1746 puis réoccupé par les gallispans le 5 juin 1747. Sa destruction a été envisagée à plusieurs reprises.
On voit encore sur le terrain un système de protection extérieure qui figure aussi sur le plan au 1/5000ème de 1972, mais il est difficile de faire une reconnaissance complète du fait du maquis dense qu’il faudrait débroussailler.
En 1744 selon Morris, avait été exécutée « autour du mont Alban une ligne continue s'appuyant à gauche aux pentes abruptes et aux escarpements, formant une barrière continue depuis le fort jusqu'au Lazaret de Villefranche. »
Sur la carte au 1/5000ème du mont Alban de 1972, on voit des lignes brisées au sud et au sud est du fort.
Il s'agit de murs assez larges (jusqu'à 1,50 m) avec des parements extérieurs et intérieurs soignés et du remplissage. Certaines parties ont encore plus d'un mètre de haut. Plusieurs portions ont été reconnues.
1 - celle qui se trouve de part et d'autre de la route d’accès au fort qu'on peut repérer facilement par un petit mur de 3 mètres de long côté est de la route. Il semble que ce mur ait été doté d'un fossé du côté extérieur de 2m de large peut-être mais en grande partie rempli par des chutes de pierres provenant du mur et des détritus. Ce serait la défense la plus extérieure. A une quarantaine de mètres au nord se trouve une autre ligne de défense complexe reconnue partiellement.
2- au sud est du fort la partie qui se trouve de part et d'autre du chemin d’accès au fort sur le côté est depuis la montée saint Estève. A la traversée du chemin il semble qu'un aménagement a été prévu dans le rocher côté amont du chemin pour un poste de garde. Ce passage était fermé par une porte. Les autres restes de ce mur sont dans le maquis et difficiles à explorer. Le mur de défense se prolongeait probablement le long de la falaise vers le sud.
Sur la carte des environs de Nice de 1800 on distingue bien l'ensemble des défenses extérieures du mont Alban dont la partie sud et sud-est figure sur le plan au 1/5000ème.
Les défenses extérieures apparaissent sur plusieurs plans du XVIIIème siècle, avec une série de positions tournées vers Nice. La route d’accès actuelle au fort a probablement repris l’assiette de l’ancien chemin. Sur le plan 17 Fi 12030, (voir croquis) on voit des antennes partant de ce chemin vers l’ouest pour desservir les positions dirigées vers Nice, mais les vestiges d’emplacements de batteries ont probablement été détruits par lé création de la piste créée entre le fort et la station radio électrique en bordure du plateau côté ouest. Sur la piste qui va du fort aux antennes vers le sud on ne distingue pas de vestiges exploitables
Le Mont des Mignons - NIce
Il s’agit du contrefort du mont Gros séparé de celui-ci par un collet où passe la grande Corniche (x=999.6, y=3170, z=200) Il est mentionné sur la carte 01 Fi 041/1 ADAM. La chapelle saint Hubert se trouve à l'ouest. Depuis le Paillon deux chemins l'enserrent : celui du mont des Mignons et celui de saint Charles qui sont prolongés par le chemin du mont Gros
Batterie saint Aubert ou la Colle du mont Gros. Voir Brétaudeau (2) page 411. Construction de forme parallélogramme irrégulier en bordure d'à pic au sud-ouest selon un mémoire de 1852. Il s'agit probablement du mont des Mignons, car sur la carte de Villaret (13), on voit que le mont des Mignons est détaché du mont Gros et qu'une chapelle saint Hubert se trouve à l'ouest. Y a-t-il correspondance entre Saint Aubert et Saint Hubert ? Dans ce cas cet ouvrage aurait été détruit au moment de l’aménagement des batteries.
Il s’agit du vallon qui part du col des quatre chemins vers la Trinité.
Il était signalé à l’époque deux flèches pour contrôler ce vallon mais étant donné l’urbanisation, il y a peu de chances de les retrouver.
Dans certains documents on donne le nom de col de l'Anima au col de Villefranche, et on parle de chapelle des âmes. Le nom de Anima vient-il de cette chapelle ?
Les trois batteries dites Blanche, de l'Anima et de Limpia, étaient au nord du col de Villefranche peut-être au dessus du chemin du mont Alban et du boulevard des deux corniches. Près de cet endroit se trouvait une chapelle saint Jacques selon un plan de P. Canestrier , plan des années 1930 , mais qui semble repris sur des sources anciennes. Un peu plus bas vers l'ouest se trouvait une chapelle madone des Anges également parfois citée ; la cassine Noielli était entre les batteries Blanche et de l'Anima.
Sur certains plans anciens on voit des emplacements de batterie mais les lieux ont été bouleversés par la construction de l’observatoire
Il a été lui aussi fortifié, mais dans la partie nord dominant le col des quatre chemins, l’urbanisation rend difficiles les observations
Cependant suer la carte au 1/5000ème de 1972 on distingue des murs qui pourraient être des restes de fortifications.
Le plateau de Cairons d’après de Vault cité par Cappatti (5) page 19 a été fortifié pour battre la route de Beaulieu à saint Jean en 1744. Ce plateau est situé sur les hauteurs de Beaulieu où se trouve maintenant un réservoir de la Compagnie des Eaux un peu au dessus de la chapelle de la Madone Noire. Il est bordé par la route dite du col de Caire lequel est situé dans la propriété Léopolda.
Fortifications de Villefranche sur mer
La position principale était la citadelle avec les défenses de la darse. Il y avait aussi un bastion où se situe maintenant la gare martitime. Ce bastion a fait l’objet notamment d’un tableau de Charles Labor au XIXème siècle. De l’autre coté de la rade Il y avait probablement une position de défense à côté de la plage de Passable selon la carte de A Beaumont montrée ci-dessus Sur cette carte on voit qu’il y avait des défenses continues entre le fort du Mont Alban et le fort Mathiews (mont Boron)
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C’était le point le plus à l’est du camp retranché sur la côte au débouché du vallon de la Murta à Beaulieu qui constituait par lui-même un défense naturelle (x=1003.2, y=3167.9, z=006) Cette tour située à l’emplacement du parking de la mairie de Beaulieu a fait l’objet d’une étude détaillée par A .Cane. Elle figure sur de nombreux plans anciens. Sur un plan de P. Canestrier, elle est dénommée « tour de Bosio ».
Sur le plan de Bourcet du XVIIIème siècle, on peut lire « mont Leuza ou de Pial ou de Limaçon. »
Près de la tour des télécommunications on peut observer des restes de murs en bordure du pré (doline ?). Leur forme avec redans parait correspondre à des fortifications du XVIIIème siècle. Voir plan Ce pourraient être les murs nommés M5 dont l’extrémité ouest se trouve à (P)x=1001.447, y=3170.110, z=554 et M6 de la planche 398 de G. Brétaudeau (2), dont l’extrémité est se trouve au point (P) x= 1001.481, y=3170.023, z=552, près de la borne 5 de délimitation de communes
En bordure du pré en contrebas de ces murs on peut voir un puits ou bassin carré de 2m de côté environ en partie taillé dans le rocher dont l’usage n’a pu être expliqué (P) x=1001.458, y=3170.061, z=512. De l’autre côté du pré subsistent deux fonds de cabane près de deux grottes fermées.(P) x=1001.621, y=3170.076, z=514
Au sommet du Mont Leuze près du repère géodésique un mur sur le côté nord est pourrait avoir été un poste d’observation. Il s’agit de l’angle nord est du point nommé PF Sur de la planche 397 de G. Brétaudeau (2). A deux mètres à l’ouest de ce mur se trouve la borne 7.
Sur les pentes nord est du signal on voit des morceaux de mur et derrière ceux-ci un système de tranchées.
Le marquis de Saint Simon selon Caillé (page 57) a écrit: « le marquis de Castellar (en 1744) ayant ainsi enlevé quatre ou cinq redoutes fortifiées et garnies de canons se vit devant une plus considérable que les autres. Il ne pût l'emporter qu’après plusieurs charges qui lui coûtèrent du monde ; il rassembla ce qui lui restait, pour marcher en force contre la dernière muraille qui couvrait le camp piémontais qu'il voyait sans obstacle ».
A .Caillé ajoute dans la même page au sujet de la publication de H. Moris « pendant ce temps dit Daniel Minutoli, les colonnes françaises partant des environs de la Turbie, enlevaient le fort du Limaçon et s'y établissaient »
Cappatti assimile le camp du Limaçon ou du Colimaçon au mont Pacanaglia. Le docteur Th. Gasiglia a consacré un article à ce fort. A ce document est joint un plan des retranchements du mont Alban qu'il attribue à un officier de l’armée du Prince de Conti . Sur ce plan le mont Gros sous l'observatoire parait fortifié vers l'est et le mont des Mignons est appelé mont saint Aubert.
Si l’on observe le Mont Leuze depuis Nice, il a vaguement la forme d’une limace, la tête étant constituée par le sommet à droite.
Signification des notations
B.B. signifie Bibliothèque Barbéra Barral - La Turbie 06320
A. D. signifie Archives Départementales des Alpes Maritimes
B.M. Nice signifie Bibliothèque municipale de Nice
I.I.S.L. signifie Institut international d’études ligures de Bordighera Italie
Une liste des documents et plans relatifs aux guerres du XVIIIème siècle fera l’objet d’un dossier particulier
1 - Bodard Pierre et R. C. Cheneveau - Mémoires de l'IPAAM tome XV 1970-1971 - extraits- aperçu archéologique de la crête du Férion
2 - Brétaudeau Georges Les enceintes des Alpes Maritimes - IPAAM 1996
3 - Brétaudeau Georges MIPAAM TomeXLI, année 1999
4 - Canale, Carte 01 Fi 0076, ADAM, et est intitulé « copia del tipo formato dal signor Gioacchino Chianale ... indicante i respettivi territorii dei commune d'Eza e Trinita Vittorio »
5 - Cappatti Louis- fonds 306 - 317 B.M. Nice
6 - Cheneveau (Général)- Tome XV des mémoires de l'IPAAM 1972-1973
7 - Fighiera Charles Alexandre – Eze – Collection les Régionales Serre Editeur
8- Isnard Roger et Marguerite, Per carriera
9 - Millet (chevalier) - Bibliothèque nationale - FFNA 363 – page 328 à 358 Mémoire sur les nouveaux retranchements faits dans le Comté de Nice communiqués par monsieur le chevalier Millet et page 358 - Carte des retranchements faits pour la défense du Comté de Nice par l’armée combinée d’Espagne et de France dans le mois de septembre 1747.
10 - Carte des environs de Nice par H. Moris - Campagne de 1744
11 - Rochereau Olivier- Une ligne fortifiée au XVIII ème siècle dans le comté de Nice - Bibl. B. B.
Archeologia N° 105 avril 1977 pages 38 à 50
12- Thévenon L. Le fort du Mont Alban, Sourgentin N° 103 octobre 1992
13- Villaret Carte du Comté de Nice 1748
Certains ouvrages décrits ci-dessous sont en limite de la commune de la Trinité Victor
Les coordonnées précédées de (P) ont été relevées par GPS et sont données dans le système Lambert III.*
Au nord et à l’est de la doline située à l’est du fort de la Revère se trouve un mur de 1,60 m d'épaisseur que l'on suit jusqu'à l'emplacement de batterie situé à la cote 677. Le long des fossés nord de la Revère aucun mur caractéristique n'a pu être observé dans la végétation difficile d’accès mais d'anciens ouvrages ont peut-être disparu dans les glacis du fort. Mais au nord ouest du fort on retrouve la ligne probablement gallispanne de 1747.
De même la construction des emplacements de batterie de Serré de Rivière sur le petit plateau à la cote 677 a fait disparaître des ouvrages antérieurs. Cependant il reste encore un témoignage de camp retranché (voir plan) avec une chicane de sortie côté est.
Cette redoute de la cote 677 est reliée à un mur est ouest en contrebas de la route stratégique côté Eze. L'est de ce mur s'appuie sur un rocher au bord aval de la route stratégique et immédiatement au dessus de la petite falaise qui borde en amont la route on voit le mur qui se relie à l’ouvrage de la cote 677.
Cette redoute fermée de la cote 677 et les retranchements en pierre sèche seraient ainsi austro sardes et appartiendraient à la campagne de 1744. Ces ouvrages pouvaient aussi logiquement s’intégrer dans le système de défense gallispan de 1747. Il n'est pas impossible non plus que les ouvrages construits trois ans avant par les austro-sardes aient été restaurés remaniés et réutilisés en 1747 par les gallispans.
Voir aussi le dossier "la Trnité Victor"
ll existe un plan, commandé en 1817 à Gioachino Canale (1), (réf A. D. 01 Fi 0076) et publié en 1836. Sur ce plan est mentionnée la limite entre les communes d'Eze et de la Trinité Victor nouvellement créée. Entre les points 36 et 37 du plan la limite entre les deux communes est constituée par des vieux retranchements (en italien sur la plan "vecchi trincereamenti", en italien moderne trinceramenti). Ces retranchements commencent à l'ouest au point 36 à hauteur d'une gorge sud-nord dénommée "calanca" et se poursuivent suivant une ligne grosso modo est-sud-est vers le point 37 dénommé "angolo sagliente" en passant par un lieudit la Gardiola. Ce lieudit se trouve à l'emplacement de ce qui est devenu par la suite le fort de la Revère, les retranchements passant à hauteur du fossé nord du fort, et se poursuivant au nord de la doline(x=1005.2 ; y=3171.5 ; z=650)
Sur le plan cadastral d'assemblage Eze TA Echelle 1/10000 de 1963 révisé en 1980, les murs sont dénommés « Muraille de Trinquiera, Muraille de Gardiola. »
Cette ligne de défense est plus ou moins est-ouest en aval du sentier et constituée par un mur de 1,20 de large et de hauteur actuelle allant jusqu'à 1,30 m à l'aval. En partie est après la traversée du sentier, elle se redresse mais il est impossible actuellement de suivre cette ligne jusqu'au plateau de la Revère car elle est enfouie sous un maquis inextricable de ronces qui ont poussé à la suite d'un épandage de lisier par une porcherie anciennement située sur le plateau à l'ouest du fort.
En amont du chemin l'épaisseur du mur est de 1,60 m. A 150m à l'ouest de cet ouvrage se trouve un ravin très étroit. Voir plans
Cet ouvrage pouvait être destiné à interdire la pénétration de troupes austro-sardes vers l'ouest. Il daterait alors de 1747.
Il est en vue directe de la ligne de défense du plateau Tercier et de la redoute sud située à 400m environ à l'est de la ligne principale avec lesquels il était possible de correspondre par signaux.
En contrebas de cette ligne de défense se trouve l’ancienne Via Julia mais le paysage à cet endroit a été très modifié par l'autoroute et le gazoduc.
Ce petit sommet arrondi est situé au nord du col d’Eze (x=1003, y=3170.9, z=454) Ce sommet aurait ainsi été occupé par les gallispans au milieu des positions austro sardes C’est de cet endroit qu’aurait été donné le signal de l’attaque du 20 avril 1744 par un feu auquel de Rimiez on aurait répondu par un autre feu et trois fusées selon Charles Alexandre Fighera (2). Ceci est à prendre avec rserve car les vues depuis le colline de Papatoun sont très limitées Il raconte par ailleurs page 237 à 249 les incidences de la guerre sur le village de Eze.
Quand on part du col d'Eze pour emprunter la route stratégique vers les forts, on laisse à gauche le fort de l'Adrette et on contourne par la droite une colline arrondie pour se diriger vers le fort de la Revère. Cette colline est en partie boisée, au sol terreux et marneux et on n'observe pas de calcaire jurassique. Elle se trouve à la cote 589. Sur la carte au 1/5000 elle est nommée Tour de Pical de même que sur la carte de Canale (x=1004.0 ; y=3171.1 ; z=600)
Effectivement au sommet se trouve la ruine d'une tour circulaire de 3 mètres de diamètre intérieur qui dépasse du sol de 60 cm environ. La paroi de cette tour est de 60 cm d'épaisseur environ.
Près du sommet de cette colline se trouvent un certain nombre de tranchées très remblayées sur la face nord, donc côté Revère. Ce secteur a été occupé par les chasseurs alpins jusque vers les années 1960 et ces tranchées ont pu être exécutées pour leurs exercices ou être antérieures.
Ils se trouvent dans les secteur du parcours de santé et apparaissent encore sur la carte au 1 :5000 ème de 1972. Ils ont été exécutés en lignes parallèles. Ils se raccordent avec les retranchements du Mont Leuze. |
Signification des notations
A.D.A.M signifie Archives Départementales des Alpes Maritimes
1 - Canale, Carte 01 Fi 0076, ADAM, et est intitulé « copia del tipo formato dal signor Gioacchino Chianale ... indicante i respettivi territorii dei commune d'Eza e Trinita Vittorio »
2- Fighiera Charles Alexandre – Eze – Collection les Régionales Serre Editeur
3 - Millet (chevalier) - Bibliothèque nationale - FFNA 363 – page 328 à 358 Mémoire sur les nouveaux retranchements faits dans le Comté de Nice communiqués par monsieur le chevalier Millet et page 358 - Carte des retranchements faits pour la défense du Comté de Nice par l’armée combinée d’Espagne et de France dans le mois de septembre 1747.
4 - Carte des environs de Nice par H. Moris - Campagne de 1744